Il n'y a pas UNE chanson qui me colle des frissons, il y en a dix, il y en a cent, peut-être même mille. Ça va de Brel à Motörhead, en passant par Higelin, Stevie Nicks, Ismaël Lô, Led Zep, les Stones… et puis Renaud et Patti Smith et Michel Delpech et Bowie et Cohen et Tarja… du coup ce sera Damien Saez, On s'endort sur des braises… épicétou !!!
vendredi 8 mars 2019
La dizaine des blogueurs / 05
Il n'y a pas UNE chanson qui me colle des frissons, il y en a dix, il y en a cent, peut-être même mille. Ça va de Brel à Motörhead, en passant par Higelin, Stevie Nicks, Ismaël Lô, Led Zep, les Stones… et puis Renaud et Patti Smith et Michel Delpech et Bowie et Cohen et Tarja… du coup ce sera Damien Saez, On s'endort sur des braises… épicétou !!!
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Why not ?
RépondreSupprimerChoix frissonnant pour sûr...
Une chanson qui me fait bizarrement penser à La Fanette de Brel… la mer, la rupture, le chagrin
SupprimerJ'avoue que j'ai du mal, désormais, à prendre Saez au sérieux.
RépondreSupprimerMais quand j'étais plus jeune, jeune adulte ou en fin d'adolescence, j'ai eu une petite période où quelques chansons de Saez me parlaient (Fils de France, notamment). Ce morceau est touchant mais il ne me fait pas peur. Je pensais que les hard rockeurs étaient moins sensibles :p
Saez est un artiste énervant ! Je n'adhère pas à tous ses discours, mais sa discographie est quand même constellée de petits bijoux.
SupprimerEt oui, même les métalleux ont une âme à sauver des enfers !!!
D'abord un copié collé de chez moi, car avec ce jeu revenir c'est déjà sympa "Ceci dit, dis moi, Le générique de "Mission Impossible" "Mannix" "Bullit" "la série des inspecteurs Harry" "Enter The Dragon" Rien qui te secoue la dedans, si ta réponse est oui, alors please, écoute les premières mesures (Car ça voudrait dire que tu ne les a pas écouté tsss tsss) sinon non... ha ha réécoute au moins les compositions de Lalo ensuite..."
RépondreSupprimerPour Saez, je te lis, j'écoute et je te dis quoi (c'est du Belge Wallon)
Typiquement la chanson plus qu'utile pour absorber un mal de vivre ou un moment mal vécu. En ce qui me concerne j'ai parfois l'impression que cela absorbe une partie du chagrin pour aider à avancer.
RépondreSupprimerIl a presque raison El Norton, presque, parce que il en faut des artistes qui osent sans trop de recul, sans se comparer aux meilleurs, sinon tu pourrais jeter une bonne partie des textes de Piaf. Et ici, je trouve Saez juste ce qu'il faut de mystère pour y trouver son compte. En vieillissant on pense avoir un regard sage et ce qu'il faut de recul. Et puis PAF... Merci.
J'ai moins de questionnements quand j'écoute une chanson, il faut que ça m'embarque dès la première note. Il faut aussi qu'il y ait un rythme marqué et compréhensible au premier abord, sinon je m'y perds… bref, j'aime la musique "basique", pas trop cérébrale !!!
SupprimerComme ma copine tiens, "dès la première note" sans pitié, malheur à celui qui ménage ses effets
SupprimerNous sommes de la race des instinctifs !
Supprimer:-)
Encore une chanson bien flippante !!!
RépondreSupprimerLes frissons dans le dos, c'est tout sauf du questionnement... ça frisonne .. Saez, j'ai craqué sr son avant dernier..le double monumental. Le dernier pas encore écouté, mais il parait qu'il s'énerve un peu plus. Cette chanson là Kif, elle est frissonnante. Une fois de plus, l'émotion s'ajoute au contexte, à l'esprit du gars, et son cerveau artistique sans compromis.
RépondreSupprimerSaez est un artiste difficile à suivre. Tantôt sombre comme l'abîme, tantôt lumineux comme une galaxie. Parfois irritant par ses discours extrêmes, parfois doux comme un enfant. Il y aurait comme du Ferré, mâtiné de Ferrat, de la colère sourde et des bouquets de fleurs… un cocktail explosif mais si doux à siroter !
Supprimermais oui.. tellement ça. y'en a pas des masses des comme lui. ça se sirote...
SupprimerHARLEM, titre de PHIL LYNOTT avec GRAND SLAM (1984)
RépondreSupprimerInstrumentalisation minimale et belle sensibilité. Pas les frissons pour moi mais j'écoute le titre avec plaisir.
RépondreSupprimerJ'ai tenu jusqu'à 1:30, puis je suis allé me suicider.
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