En quelques années, je suis devenu le plus grand spécialiste en musicologie que la terre ait jamais connu. Tout ça grâce à un méticuleux travail de recherche, d'analyse et de synthèse. Un vrai travail de titan ! Ceci étant dit, laissez-moi vous narrer la genèse du metal viking.
C'est donc au VIIIᵉ siècle avant Jean-Claude Dusse, que les hordes de barbares scandinaves ont déferlé sur l'Europe entière, pour se livrer au pillage. En France, ils découvrent la bourrée auvergnate, la java, les chants polyphoniques corses, le bagad de Lann Bihoué et Michel Drucker… autant dire que ça les fait chier sévère. Puis, ils font une brève incursion en Angleterre. Les Stones, Motörhead et Black Sabbath n'étant pas encore opérationnels, ils se barrent vite fait de ce bled où les chars à bœufs roulent du côté gauche. Ils poursuivent leur périple jusqu'en Ibérie où ils sont accueillis au son du fado et du flamenco. Même résultat : ça les gonfle puissance 10. Alors, ils poussent encore plus à l'est : l'Italie, la Grèce, la Turquie, jusqu'aux confins de la Russie, par la mer Noire. Bel canto, sirtaki, türkü, kazatchok, il n'en fallait pas plus pour écœurer définitivement ces invétérés soudards.
Ainsi, à la fin du XIᵉ siècle — c'était exactement le 21 février — ils étaient de retour à la maison et décidaient de créer leur propre musique folklorique. Ils commencèrent par inventer la guitare électrique, la batterie à double grosse caisse et les hurlements énervés du chanteur. Sur des riffs tranchants, ils relatent leurs épopées dévastatrices et encensent les divinités guerrières de la mythologie nordique.
Dans une prochaine chronique, tout aussi documentée, je traiterai des dégâts causés par le répertoire d'Annie Cordy sur le cerveau des fans de Slayer… ça promet aussi d'être saignant !
C'est donc au VIIIᵉ siècle avant Jean-Claude Dusse, que les hordes de barbares scandinaves ont déferlé sur l'Europe entière, pour se livrer au pillage. En France, ils découvrent la bourrée auvergnate, la java, les chants polyphoniques corses, le bagad de Lann Bihoué et Michel Drucker… autant dire que ça les fait chier sévère. Puis, ils font une brève incursion en Angleterre. Les Stones, Motörhead et Black Sabbath n'étant pas encore opérationnels, ils se barrent vite fait de ce bled où les chars à bœufs roulent du côté gauche. Ils poursuivent leur périple jusqu'en Ibérie où ils sont accueillis au son du fado et du flamenco. Même résultat : ça les gonfle puissance 10. Alors, ils poussent encore plus à l'est : l'Italie, la Grèce, la Turquie, jusqu'aux confins de la Russie, par la mer Noire. Bel canto, sirtaki, türkü, kazatchok, il n'en fallait pas plus pour écœurer définitivement ces invétérés soudards.
Ainsi, à la fin du XIᵉ siècle — c'était exactement le 21 février — ils étaient de retour à la maison et décidaient de créer leur propre musique folklorique. Ils commencèrent par inventer la guitare électrique, la batterie à double grosse caisse et les hurlements énervés du chanteur. Sur des riffs tranchants, ils relatent leurs épopées dévastatrices et encensent les divinités guerrières de la mythologie nordique.
Dans une prochaine chronique, tout aussi documentée, je traiterai des dégâts causés par le répertoire d'Annie Cordy sur le cerveau des fans de Slayer… ça promet aussi d'être saignant !
01 - Heidevolk - Britannia
02 - Jörmungandr - Serpent's Kiss
03 - Pitkan Matkan - Battle Is Near
04 - Mjød - Invisible Forest
05 - Hulkoff - Einherjr
06 - Snöfrid - Nifelheim
07 - Einherjer - Mine Våpen Mine Ord
08 - Helgrind - Rusalka
09 - Varang Nord - Pārķiuņa Uomurs
10 - Heidra - The Price in Blood
11 - Incordia - Corona Borealis
12 - Vintersorg - En Valdig Isvidds Karga Drakt
13 - Vanir - Særimners Kød
14 - Fenris Vrede - Dødsriket
15 - Hjelvik - The Power Ballad of Freyr
16 - Varg - Asatru
17 - Månegarm - Ulvhjärtat
18 - Heathen Foray - Soldat
Impossible de se connecter pour ajouter un commentaire, me dit Blogspot
RépondreSupprimerPourtant tu viens de le faire !!!
SupprimerJe n'ai pas touché aux critères de publication : pas de captcha, pas de modération et ouvert à tous